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Publiée en 2015, l'encyclique Laudato Si' sur la « sauvegarde de la maison commune » a connu un retentissement mondial. Pour autant, l'association entre le christianisme et l'écologie est-elle aussi évidente ? De quelle écologie parle-t-on ? Quel type de « conversion » nous est demandé ? Les chrétiens ne sont-ils pas largement responsables de l'« anthropocène », cette destruction de la nature poursuivie par l'homme au cours des siècles ? À partir d'un diagnostic de la situation présente, François Euvé pose les fondements d'une théologie de l'écologie qui confronte à la fois la tradition biblique, l'histoire et les courants de pensée contemporains. La notion d'une création du monde par un Dieu toutpuissant est en effet au coeur de la révélation chrétienne, comme le rappelle le premier verset du Credo : « Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre. » Cette affirmation doit cependant être reprise radicalement pour redéfinir la relation entre Dieu, l'homme et la nature, en se démarquant avec netteté de l'anthropocentrisme moderne. Au lieu d'encourager l'évasion, comme on a pu l'accuser, ou de céder comme d'autres au catastrophisme, le christianisme se doit d'entretenir une espérance, celle qu'un autre monde est possible, dans une Création à partager avec justice.
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Le meurtre d'un prêtre par des djihadistes. Des gestes de fraternité entre musulmans et chrétiens pour dépasser la vengeance. Comment deux actes aussi opposés, l'un barbare, l'autre civilisateur, peuvent-ils être commis au nom de la religion ? Dans cet essai stimulant, François Euvé interroge le rapport des religions à la vérité. L'assassinat par deux jeunes djihadistes du père Hamel le 26 juillet 20016 à Saint-Etienne du Rouvray précédé par l'attentat de Nice a saisi d'effroi l'opinion publique. Dépassant la colère et le désir de vengeance, des chrétiens et des musulmans ont posé des gestes de fraternité inédits en assistant ensemble à la messe dominicale. Comment comprendre qu'un acte aussi barbare et des gestes aussi humanisant puissent être tous commis au nom de la religion ? Rédacteur en chef de la revue Etudes, François Euvé interroge ce paradoxe. Il est trop facile d'écarter d'un revers de main la motivation religieuse des djihadistes en attribuant uniquement leurs crimes à des causes sociales. Affirmer que ce geste barbare ne peut se réclamer de l'islam ne contribue pas non plus à élucider ce qui se noue quand on invoque Dieu pour commettre l'ignoble. Au lieu d'en conclure que l'islam est intrinsèquement violent n'y a-t-il pas à examiner de près le rapport actuel de cette religion à la pluralité démocratique ? Plus largement, n'a-t-on pas minimisé l'impact de la religion et son influence sociale en la réduisant à un simple reflet de l'état de la société ? Et si à un XXe siècle, le plus violent de l'histoire, où le crime de masse avait surtout des motivations religieuses, succédait un XXIe siècle où, mue par un vertige fondamentaliste, la barbarie était commise au nom de Dieu ? Loin de se résigner à cette perspective tragique, ce livre invite à reconsidérer le rapport des religions à la vérité. Et si au lieu d'être chosifiée comme un dépôt intouchable déconsidérant celui qui la conteste, la vérité se faisait dans le dialogue, en marchant avec l'autre, qu'il croit ou non en Dieu ?
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Quel peut être l'avenir du christianisme ? Celui-ci semble prisonnier d'un paradoxe. D'une part, des chrétiens devenus minoritaires, avec des normes de moins en moins suivies au plan intime, et une Église décrédibilisée par les « affaires ». D'autre part, des sociétés qui apparaissent en quête de sens, sinon de « spiritualité », au point que certains sociologues parlent de « désécularisation ». Il y a indéniablement une attente à l'égard des traditions de sagesse et du christianisme en particulier. Une parole chrétienne peut encore résonner parmi nos contemporains, susceptible de nourrir leur existence et de leur ouvrir un horizon désirable. Mais la proposition chrétienne ne sera pertinente que si elle prend en compte la situation présente et les ressources qu'elle contient. La notion de dialogue est ici essentielle, dans le sens où l'entendait Paul VI dans Ecclesiam suam. François Euvé refuse cette tentation, qui gagne certains chrétiens, de ne voir dans le monde que corruption et décadence, et nous offre un essai plein de confiance et d'espérance.
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Science --- Christian religious orders --- Society of Jesus --- Sciences --- --Histoire --- --Jésuite --- --271.5 <09> --- 215 --- #GBIB: jesuitica --- C2 --- Sociëteit van Jezus (1540-1773 ; 1814-heden) --- wetenschappelijke vorming --- Jezuïeten--Geschiedenis van ... --- Godsdienst en wetenschap --- Religieuze instituten --- 271.5 <09> --- 271.5 <09> Jezuïeten--Geschiedenis van ... --- --Science --- Jezuïeten--Geschiedenis van .. --- Jezuïeten--Geschiedenis van . --- Jezuïeten--Geschiedenis van --- Histoire --- Jésuite --- Mathématiques --- Jésuites --- Astronomie
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Christian dogmatics --- Creation --- Games --- Religion and Science --- Theology --- History of doctrines --- Symbolic aspects --- Religious aspects --- 231.51 --- -Play --- -Religion and science --- Christianity and science --- Geology --- Geology and religion --- Science --- Science and religion --- Recreations --- Recreation --- Amusements --- Children --- Children's games --- Games, Primitive --- Games for children --- Pastimes --- Primitive games --- Entertaining --- Physical education and training --- Play --- Sports --- Biblical cosmogony --- Cosmogony --- Natural theology --- Teleology --- Beginning --- Biblical cosmology --- Creation windows --- Creationism --- Evolution --- De Deo creatore. Schepping --- -Christianity --- 231.51 De Deo creatore. Schepping --- Religion and science --- Symbolic aspects of games --- Symbolism --- Religious aspects&delete& --- Christianity --- Creation - History of doctrines --- Games - Symbolic aspects --- Games - Religious aspects
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La Compagnie de Jésus - l'ordre des jésuites - est-elle si connue ? Souvent l'ignorance de ses composantes spirituelles et historiques fondammentales le dispute à la pérennité des clichés qu'une solide tradition s'emploie à entretenir. Plutôt que de se lamenter, il convient d'informer en partageant la réflexion. La revue Etudes, fondée par des Pères jésuites il y a plus de cent cinquante ans (1856), a publié au gré des circonstances, anniversaires, rassemblements divers, un grand nombre d'articles portant soit sur les caractéristiques de la vie et de l'activité des jésuites, soit sur les quelques grandes figures, ancienne ou récentes. L'élection d'un pape issu de la Compagnie de Jésus est l'occasion de republier une sélection de ces textes dans le but de mieux faire connaître un ordre qui accompagne toute l'histoire moderne de l'Eglise.
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